L'amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser
Et c'est bien en vain qu'on l'appelle
S'il lui convient de refuser
Rien n'y fait menace ou prière
L'un parle bien l'autre se tait
Et c'est l'autre que je préfère
Il n'a rien dit mais il me plaît
L'amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser
Et c'est bien en vain qu'on l'appelle
S'il lui convient de refuser
L'amour est enfant de bohême
Il n'a jamais, jamais connu de loi
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Si je t'aime prends garde à toi Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime Prends garde à toi
Mais si je t'aime, si je t'aime
Prends garde à toi
L'amour est enfant de bohême
Il n'a jamais, jamais connu de loi
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Si je t'aime prends garde à toi
Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime Prends garde à toi
Mais si je t'aime, si je t'aime ga.......rde à toi
L'oiseau que tu croyais surprendre
Battit de l'aile et s'envola
L'amour est loin tu peux l'attendre
Tu ne l'attends plus il est là
Tout autour de toi vite vite
Il vient s'en va puis il revient
Tu crois le tenir il t'évite
Tu crois l'éviter il te tient
Tout autour de toi vite vite
Il vient s'en va puis il revient
Tu crois le tenir il t'évite
Tu crois l'éviter il te tient
L'amour est enfant de bohême
Il n'a jamais, jamais connu de loi
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Si je t'aime prends garde à toi Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime Prends garde à toi
Mais si je t'aime, si je t'aime
Prends garde à toi
L'amour est enfant de bohême
Il n'a jamais, jamais connu de loi
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime
Si je t'aime prends garde à toi
Prends garde à toi
Si tu ne m'aimes pas
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime Prends garde à toi
Mais si je t'aime, si je t'aime ga.......rde à toi
LÉÏLA
. . . Des rochers, des prés, des bois! . . .
NADIR
. . . Encore cette voix!
LÉÏLA
. . . Écoutez ma voix!
CHŒUR Esprits de l'air, Esprits de l'onde, Esprits des boix!
LÉÏLA
Dans le ciel sans voile,
Parsemé d'étoiles,
Au sein de la nuit
Trasparent et pur,
Comme dans un rêve,
Penché sur la grève,
Mon regard, oui, mon regard vous suit À travers la nuit!
Ma voix vous implore,
Mon cœur vous adore,
Mon chant léger,
Comme un oiseau semble voltiger!
CHŒUR Ah! chante, chante encore!
Oui, que ta voix sonore,
Ah! que ton chant léger,
Loin de nous, chasse tout danger!
LÉÏLA Ah!
NADIR
Léïla! Léïla!
Ne redoute plus rien! Me voici! Je suis là!
Prêt à donner mes jours, mon sang pour te défendre!
CHŒUR Ah! chante, chante encore!
Oui, que ta voix sonore,
Ah! que ton chant léger,
Loin de nous, chasse tout danger!
haaaaaaaaaa....
LÉÏLA
Pour toi, pour toi que j'adore, Ah! je chante encore!
Je chante pour toi que j'adore! Il est là! Il m'écoute! Ah!
NADIR
Ah! Chante, chante encore! O toi que j'adore,
Ne crains nul danger!
Je viens pour te protéger! Ne crains rien, je suis là! Léïla, ne crains rien!
Léïla, je suis là!
Jésus vient de naître
Voici notre divin maître
Rois et bergers d'Israël!
Dans le firmament
Des anges gardiens fidèles
Ont ouvert grandes leurs ailes
Et s'en vont partout chantant: Noël!
Noël!
Jésus vient de naître!
Voici notre divin maître,
Rois et bergers d'Israël!
Noël! Noël! Noël! Noël! Noël!
Votre toast, je peux vous le rendre
Señors, señors, car avec les soldats
Oui, les Toréros peuvent s'entendre
Pour plaisir, pour plaisir, ils ont les combats
le cirque est plein, c'est jour de fête,
Le cirque est plein du haut en bas,
Les spectateurs perdent la tête,
Les spectacteurs s'interpellent à grand fracas.
Apostrophes, cris et tapages,
Poussés jusque à la fureur.
Car c'est la fête du courage,
C'est la fête des gens de coeur!
Allons! en garde! allons! allons! ah!
Toréador en garde
Toréador, toréador!
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un oeil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador!
L'amour, l'amour t'attend
Toréador en garde
Toréador, toréador!
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un oeil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador!
L'amour, l'amour t'attend
Tout d'un coup on fait silence
On fait silence, ah, que se passe t'il?
Plus de cris, c'est l'instant
Plus de cris, c'est l'instant
Le taureau s'élance en bondissant hors du toril
Il s'élance, il entre, il frappe,
Un cheval roule, entraînant un picador
"Ah! bravo! toro!" hurle la foule
Le taureau va.il vient.il vient et frappe encore!
En secouant ses banderilles
Plein de fureur il court,
Le cirque est plein de sang!
On se sauve, on franchit les grilles
C'est ton tour maintenant,
Allons! en garde! allons! allons! ah!
Toréador en garde
Toréador, toréador!
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un oeil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador!
L'amour, l'amour t'attend
Toréador en garde
Toréador, toréador!
Et songe bien, oui, songe en combattant
Qu'un oeil noir te regarde
Et que l'amour t'attend,
Toréador!
L'amour, l'amour t'attend
Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Nous vivions tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Nous vivions tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.